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| | Les Légendes de la Vallée Rouge | |
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Yuko Namakemono Administratrice
Nombre de messages : 8337 Age : 35 Localisation : Arlon [BE]
| Sujet: Les Légendes de la Vallée Rouge Sam 20 Oct - 19:07 | |
| Ben j'ai commencer il y a 2 ans à écrire de courtes nouvelles dans l'espoir d'en faire un receuil. J'ai eu bcp d'idées que j'ai griffonées sur papier mais je n'en ai écrit au propre que 3 pour l'instant alors que j'ai un carnet avec une vingtaine de choses sympa mais que des brouillons ou des ptites phrases... Mes nouvelles mêlent toujours une histoire (écriture normale) et la voix d'un narrateur qui pose sur le récit un avis, une conception plus philosophique (italique) ! Donc voila le tout premier de mes texte ! C'est une nouvelle fantastique !Je l'ai écrite lorsque j'avais 16ans ! Bonne lecture ! La Poupée de l'Eternel - Spoiler:
Lorsque l'on est une petite fille, il n'y a rien de pire que de se voir coupée du monde ! On aura beau crier, hurler, pleurer, personne ne viendra jamais à votre secours. Si ma vie avait été la même que celle de la petite Elisabeth, je crois que toutes les larmes que j'aurais versées m'auraient rongé le coeur.
Elisabeth était née dans une famille aisée, mais cela n'empêcha pas son désespoir. Handicapée de naissance, son visage meurtri ne pouvait supporter la lumière du soleil. Elle passa son enfance recluse dans cette grande demeure retirée sur les hautes collines écossaises. Elisabeth était surnommée la petite princesse. Ses parents accablés par tant de laideur ne pouvaient qu'une chose pour leur petite fille. Lui créer un visage. C'est pour ça que des dizaines d'artisans travaillaient jours et nuits afin de donner un espoir à cette princesse flétrie.
Le jour de ses 6 ans, Elisabeth reçu un nouveau visage. Un visage doux au teint pâle, un visage de poupée. Elle était plus belle que jamais, et plus personne ne se retournait sur son passage, plus personne ne marmonnait dans son dos lorsqu'elle passait dans le couloir, plus personne n'était vrai ! La vie d'Elisabeth se transforma vite en mensonge, plus le temps passait et plus elle perdait ce qui rend chaque humain unique. Elle devenait la petite fille parfaite dont tous parents rêvaient d'avoir. Une enfant modèle qui ne mentait pas, ne répondait pas, ne courait pas dans les couloirs, ne criait pas, ne pleurait pas, ne riait pas, elle se contentait juste de vivre, oui, de vivre comme une poupée. Ses parents avaient façonné le jouet idéal.
Mais au fond, les poupées n'ont pas d'âme, alors qu'elle était la raison de l'existence d'un tel être ? Si, on ne peut lui offrir tout ce qui lui manque, elle devient inutile. Si on ne la regarde pas, elle se brise. Et lorsque l'on se rend compte que l'on est inutile, que votre voix ne dépassera pas les murs de votre prison, il ne vous reste plus qu'à disparaître.
Lorsque l'on a vécu 8 ans, on peut se rendre compte de cette fatalité. Et alors, que faire pour briser cette chaîne de solitude ? La seule chose pour enfin vivre, c'est d'exister pour quelqu'un. Elisabeth devint une poupée docile, chaque geste guidé par la peur de disparaître, chaque souffle plus difficile que le précédent. Elle n'existait qu'à travers les yeux de ses parents et ne pouvait briser cette image, sinon, elle se briserait elle même. Elle se cachait derrière ce visage créé pour elle.
On lui avait donné un visage, celui du mensonge. Mais pour une poupée, un masque ne peut rester longtemps parfait. Le regard se détourne et la faiblesse grandit car la poupée n'est qu'une poupée. Un être sans âme qui doit subir le poid de son tragique destin. Tragique, en effet car une poupée ne peut être modifiée, elle a été créée ainsi et le demeura éternellement. Les parents d'Elisabeth décédèrent le mois suivant de la peste qui s'était propagée dans toute l'Europe. Puis, vint le tour des domestiques, des animaux. Mais, les poupées, elles,... elles ne meurent jamais. Non, elles,... elles disparaissent. Elisabeth cessa d'exister dès le moment où l'homme délaissa son jouet car celui ci n'existe qu'à travers les yeux de son maître.
Ce masque, moi aussi je peux le voir ! Ce masque de mensonge se lit sur chaque visage. Sur le vôtre, comme sur le mien. Nous tentons de cacher ces imperfections tout comme Elisabeth. Et au fur et à mesure du temps, le masque se ternit et il s'efface aux yeux du monde. Mais qu'importe cette poussière, l'homme possède une âme, un espoir qui fait vibrer en lui la petite lumière de la vie.
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| | | Yuko Namakemono Administratrice
Nombre de messages : 8337 Age : 35 Localisation : Arlon [BE]
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Sam 20 Oct - 19:13 | |
| Le second que j'ai écrit quelques mois après... Je l'ai écrit lorsque j'ai commencer à voir toutes mes amies sortirent avec des garçons pendant que moi je restait en standby allons nous dire.... J'adore le titre qui colle super bien au texte selon moi et la petite phrase qui le cloture ! Une Merveilleuse Douleur - Spoiler:
Trahison, douleur, tristesse, colère, haine, vengeance, … tout cela pourrait décrire les êtres humains, mais le plus beau mots, celui qui est porteur du message de la vie c’est l’amour.
Célia élève de l’école Sendo venait d’avoir 15 ans. Il y avait une phrase qui revenait sans cesse dans sa tête depuis quelques temps. Et cette phrase cognait de plus en plus fort dans ses tympans. Elle résonnait dans un écho constant ! « Je veux connaître l’amour. Je veux connaître l’amour. Je veux connaître l’amour. »
A cet âge, la principale préoccupation de la plus part des filles, c’est l’amour ! J’ignore si c’est un caprice de leur instinct maternel, ou je ne sais quel phénomène dû aux hormones, mais avant de savoir ce qu’est vraiment l’amour, il faut passer par la souffrance, le doute et le sacrifice !
Célia avait déjà essuyé plusieurs échecs avec la gente masculine, alors, elle finit par désespérer. L’homme idéale n’existe-t-il pas ? Les parents de Célia étaient des gens bien en tout point : d’honnêtes citoyens, de braves voisins, mais surtout, de bons parents. Voyant que le moral de leur fille était au plus bas, ils prirent l’initiative d’inscrire celle-ci à la chorale de l’école.
La jeune fille s’y rendait tous les jours, ce qui lui fit vite regagner le sourire. Le professeur ; M.Iruya était un jeune homme de 27 ans. Il menait la chorale d’une main de maître, tout le monde l’adorait. Surtout Célia, il avait une façon de sourire à chaque fausse note qui était craquante. Elle tomba amoureuse de lui ! Célia, prit alors une grande décision de lui avouer tout son amour le soir même après la répétition.
Et oui, l’admiration peut se transformer en passion pour les cœurs les plus seuls. Le désespoir et la solitude vous rongent. Dans ces moments là, un sourire, un regard, c’est le plus beau des présents. Vous ne vous rendez pas compte, mais il peut facilement faire chavirer un cœur. C’est une très belle lumière dans les ténèbres de la solitude.
Le jeune homme écouta Célia et à la fin de sa déclaration, il sourit avec le plus charmant sourire du monde, rougit et répondit : « Moi aussi. » C’est ainsi que cette idylle est née. Ils se voyaient après les répétitions, le week-end en secret. A la chorale, ils faisaient semblant de rien et se comportaient normalement. Après 1 mois d’amour et de passion, Ils décidèrent de passer la nuit ensemble. Célia expliqua à ses parents qu’elle découcherait ce week-end là chez Charlotte. Ce mensonge passa sans problème.
Mensonge, secret, sommes nous vraiment assez fort pour tout supporter ? Au final, le résultat est le même ! On souffre par la vérité, on se cache la réalité et on replonge dans les méandres sombres de notre coeur.
Le lendemain, des rumeurs courraient dans toute l’école. On les avait vu. Tout le monde savait, chuchotait. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Célia, ces parents et M. Iruya se retrouvent chez le directeur de l’école. Ces gens, aimables qui étaient les parents de Célia ont changés de couleur. Il y eut des cris, des larmes, mais surtout des cœurs brisés.
Mentir à ses parents c’est mal, perdre celui que l’on aime ça fait mal !
Célia était enfermée dans sa chambre, plus jamais elle n’aurait le droit de le revoir, de revoir son sourire, ses yeux, ses lèvres, plus jamais ! Elle refusait d’y croire ! elle pleurait, elle se lamentait, elle détestait ceux qui l’avaient privée de cet amour. Pas d’un simple amour ! De l’amour lui-même. Une vie sans amour n’est plus une vie, alors, avec un dernier soupçon de joie dans le regard, elle sauta par la fenêtre. Le dernier symbole de son amour : un petit cadavre sur le trottoir. L’homme, cette créature fragile avide d’affection. Si personne ne reconnaît sa valeur, c’est qu’il n’en a pas ! La reconnaissance passe par l’amour comme la haine. Mais ça tout le monde ne le comprend pas. L’amour, un si beau mot pour tant de souffrances !
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| | | Yuko Namakemono Administratrice
Nombre de messages : 8337 Age : 35 Localisation : Arlon [BE]
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Sam 20 Oct - 19:20 | |
| Et voila le dernier en date, je l'ai écrit il y a un peu moins d'un an ! Je sais pas comment j'ai pu écrire ca, en tout cas ca m'a trop fait tripper ! Je vais un peu loin je trouve ! Lol ! Mais à la fin de la lecture il y a une sorte de déclic ! On se dit ; "C'est vrai, j'y ai jamais penser..." enfin, c'est ce que je ressent ! La Vie Egarée - Spoiler:
Depuis que j'ai appris que je ne vivais pas pour moi, ma vie a basculée ! Le petites choses que je croyaient normales se sont soudainement transformées en une peur obsessionnelle. Et la j'ai commencé à chercher ce qui me permet de vivre !
Nadia avait 2 adorables enfants : Kimmy, 5 ans et Nathan, 7 ans. Quel bonheur de regarder ses 2 petits anges apprendre les leçons de la vie tout en s'amusant. A cette époque les enfants s'étonnent des merveilles de la vie. Nathan jouait calmement dans le parc avec sa petite soeur lorsqu'il se mit à courir vers sa maman !
"Maman, maman regarde j'ai trouvé une drôle de bête !"
Le petit garçon tendait la main vers sa mère et l'ouvrit tout doucement. Nathan voulait savoir ce que c'était ? Nadia félicita son petit chéri d'avoir trouvé ce fabuleux insecte. C'était ce qu'on appelle une mante religieuse.
Je me demande ce qui différencie les vies ? Qui a décidé que les humains sont supérieures aux insectes ? Après tout eux aussi respirent, se nourrissent, communiquent alors le problème ne serait qu'une différence de taille ? Dans ce cas notre monde est bien primitif . Est ce la loi du plus fort qui domine ce monde ? Comment un petit garçon peut-il avoir une vie en main ? Et si il serrait son poing, serait il un assassin ?
De retour à la maison Nathan déposa sa trouvaille ; Georges dans un grand bocal, y perca des trous et admira son nouveau compagnon pendant des heures ! Nadia fascinée par la naïveté de son fils ne le dérangea pas. Le garçon étudiait chaque mouvement de son nouvel ami et au bout d'un moment, il sortit de sa chambre et décida de lui trouver une famille.
Après sa chasse Nathan était heureux de présenter ses petites bébêtes à sa soeur. Celle ci effrayée poussa un cri de terreur et Nadia qui était dans la cuisine accourue. Elle gronda son petit chenapan et retourna à ses occupations.
Nathan installa ses petits amis dans le bocal et observa. Nadia mettait la table dans la salle à manger et appela ses enfants.
Je pense qu'il y a une différence entre vivre et exister. On ne peut exister que si les autres sont là pour nous voir car si on ne reçoit aucun regard qu'est ce qui prouve que j'existe ? Mais alors vivre c'est quoi ?
Après le repas, Nathan retourna dans sa chambre et fut terrorisé.
"Maman au secours ! Au secours ! Georges a mangé sa famille !"
Nadia arriva dans la chambre de son fils en pleure. Elle expliqua à celui-ci que Georges était en fait une madame et que chez cette sorte d'insecte la madame mangeait les messieurs pour prendre des forces et élever leurs futurs enfants.
Nathan pensa toute la nuit à ce que sa mère lui avait expliqué ! Il trouvait ça triste que les futurs bébés insectes ne connaissent pas leur papa. Et il avait aussi de la peine pour Georges renommée Georgette qui a du sacrifier son amoureux pour ses enfants.
Vivre pour les autres, est-ce une relation vraiment saine ? Des gens appellent ça l'amour mais au fond ne serait ce pas une justification de la part de l'être humain ? Tente t' il de justifier la vie qui lui a été donnée ?
Ce n'est que vers 2h du matin que l'incendie se déclara dans la cuisine. Les flammes montèrent doucement jusqu'à l'étage et lorsque Nadia se rendit compte du danger, elle se précipita dans la chambre de ses enfants. Le pallier était en feu et les enfants de l'autre côté.
"Venez les enfants, sautez !" cria Nadia.
Nathan et Kimmy sautèrent dans les bras de leur mère. Nadia se précipita vers la fenêtre. Elle fit d'abord descendre Kimmy.
"Vas-y maman descends, je suis un homme et on dit toujours les dames d'abord dans les films d'aventures." dit Nathan.
Nadia poussa son fils par la fenêtre.
Il y eu un craquement et plus personne ne sortit de la maison.
Qui est réellement mort ce jour la ? Nadia ? Ou ceux pour qui elle avait vécue ?
Notre vie a t' elle aussi peu d'importance à nos yeux pour que nous l'offrions à d'autres personnes ? Serait ça faire preuve d'humanité ?
Alors, l'humanité n'est-elle pas une belle maladie ?
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| | | Suh Modérateur
Nombre de messages : 2195 Age : 31 Localisation : Arlon/Namur
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Dim 21 Oct - 7:29 | |
| Un mot : talent Félicitation !!! A part une ou deux petites fautes d'orthographe... T'arrêtes pas là, surtout ^.^ | |
| | | Yuko Namakemono Administratrice
Nombre de messages : 8337 Age : 35 Localisation : Arlon [BE]
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Mar 23 Oct - 11:42 | |
| Mci, mci tout plein !
(Si ca t'éclates de corriger les fautes, n'hésites pas ! Mdr) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Mar 23 Oct - 12:28 | |
| Tiens, je ne savais pas que tu en faisais un receuil ^^ Ca me fait penser à une connaissance que j'avais sur msn et qui rédigeais des nouvelles pour un recueil aussi, ça s'appelait "La foret des brumes" et c'était très bien écrit ^^ Mais bref...
Si tu me permet, maintenant que j'ai plusieurs écrits de toi sous la main je vais te faire une critique plus poussée que celle que je t'avais faites pour le premier texte sur msn. N'y voit pas de reproche ou quoi que ce soit de négatif, je te dis simplement les choses comme je les sens en tant que lecteur.
D'abord le positif :p
Dans l'ensemble c'est très sympa ^^ T'as des thèmes pas franchement gai qui ne se finissent pas en happy end, c'est assez original comme type d'écrit. Ensuite t'as une idée autour de laquelle le récit s'organise, c'est important. Tu as aussi quelques phrases qui interpellent ^^ Donc voilà, dans les grandes lignes j'aime ^^
Ensuite, ce qui selon moi déconne un peu, La première chose qui me saute aux yeux, c'est que j'ai l'impression que tu cours pour arriver à la fin de ton récit. C'est un peu comme lire le résumé d'une histoire, tu ne pose pas l'ambiance je pense. Tu écris la chronologies des évènements de ton histoire, mais ça manque un peu d'éléments qui permettent vraiment de se plonger dans l'univers des personnages. Ce que je veux dire, c'est que dés le début, tu as ton idée, ton thème. Ensuite on a surtout l'impression que les personnages que tu greffe dessus sont prétexte pour exploiter ton thème. Pour bien faire on devrait avoir l'impression inverse, non pas que les personnages servent une idée, mais que de la vie de ces personnages se dégage une idée. A la limite le concept ne doit même pas être clairement expliqué, il faut juste le laisser deviner au lecteur et le laisser se poser ses questions.
Ca ça m'amène à la seconde chose qui me dérange un peu, le fait que tu pose tes questions en "nous" ou en "le genre humain". Ca donne un petit côté morale qui accentue le fait que les personnages sont surtout un prétexte pour développer une idée. Je crois que tu gagnerais beaucoup en posant les questions en "je" ou du moins comme si c'était une interrogation personnelle du personnage, pas la réflexion du narrateur. Moi en tout cas en tant que lecteur, ces question et ces conclusions que tu lance comme des évidences, elles me dérangent parce qu'elles parlent du genre humain alors que je ne me sens pas du tout concerné et que je ne vois pas les choses comme ça. Par contre si avait été la réflexion d'une personne qui doute, d'un individu au prise avec une situation, là ça m'aurait aider à m'immerger dans le personnage.
Et puis dernière chose, cet aspect "quelle est la morale de cette histoire" qui vient terminer les récits, je le trouve un peu dérangeant aussi. Faut un peu laisser le lecteur se poser les questions. Je ne sais plus ou j'ai entendu ça, mais j'ai souvenir d'un type qui disait un truc du genre : "Dans la littérature, ce que l'on écrit pas est parfois tout aussi important que ce que l'on écrit".
Voilà, en gros, j'ai essayé de commenter le plus complètement possible ^^; |
| | | Suh Modérateur
Nombre de messages : 2195 Age : 31 Localisation : Arlon/Namur
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Mar 23 Oct - 16:00 | |
| Voilà un commentaire complet et précis | |
| | | Yuko Namakemono Administratrice
Nombre de messages : 8337 Age : 35 Localisation : Arlon [BE]
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Mer 24 Oct - 14:16 | |
| Merci pour cette analyse Orakthy ! Tu as bien cerné certaines choses ! Pour tout te dire, c est plus ou moins normal que l on ne s attache pas aux personnages et que cela va très vite ! Lorsque tu dis : "Les personnages sont au service du théme", c est exactement ce qui c est passé!
Au départ je trouve un thème que je veux aborder ensuite, on peut dire que l histoire n est qu un pretexte pour en parler. Voila pourquoi je comprend ce que tu ressens ! C'est d une part voulu et non voulu ! Je compte bien remanier cela car ; je vous explique, lorsque j ai une idée, il faut que je l écrive tout de suite sion 5min après je ne retombe plus sur mes mots, c est aussi pourquoi mes textes sont aussi courts et ne developpent pas vraiment les personnages ! Donc je suis d accord pour dire qu ils doivent etre remanier par la suite !
Voila pour la chtite explication ! Encore merci pour ton interet ! En tout cas je continuerais d écrire ce genre de texte avec des fins de moins en mois joyeuses ! Mdr | |
| | | Sumomo Amano Modérateur
Nombre de messages : 5947 Age : 33 Localisation : Belgique (Arlon)
| Sujet: Re: Les Légendes de la Vallée Rouge Dim 11 Nov - 16:34 | |
| moi tu connais mon avis,j'adore tes textes! par contre je suis pas d'accord avec orackthy,c'est justement le fait qu'on ne s'attahe pas au personnage et qu'on ne raconte pas leur vie qui fait qu'on accepte toute suite l'idée de leur mort et qu'on ce dit "bah oui on y peut rien" et qu'on ne ce met pas a raler contre l'auteur (et je suis suis du genre a bouder les auterus quant il tue un perso que j'ime bien)
et j'aime beaucoup l'idée de posée la question de fin, la morale! sa a le mérite d'etre claire, puisqu'on se pose automatiqument la question apres.
enfin bref chacun son avis!
bonne continuation yuko-chan | |
| | | Buiscuit Mokona
Nombre de messages : 316 Age : 31 Localisation : A amitié-land ^^
| Sujet: moi Ven 3 Oct - 13:55 | |
| moi j'aime beaucoup tes textes!(t'as meme deviné mon prénom dans un de tes textes trop fort!^^) C-O-N-T-I-N-U-E YUKO-SAN!! :kawai: :chat: | |
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